Afin de garantir que les activités économiques des régions maritimes n'aient pas d'impact négatif sur les écosystèmes et les moyens de subsistance, le concept d'économie bleue cherche à gérer une transformation durable des secteurs économiques associés pour maintenir et augmenter leur valeur au fil du temps, tout en soutenant la création d'emplois.

Depuis 2014, le programme SwitchMed, financé par l’UE, a démontré dans huit pays de la Méditerranée le potentiel des pratiques de l’économie circulaire en tant qu’approche performante pour soutenir l’efficacité des ressources, les modèles d’entreprise innovants et la réduction de l’empreinte écologique de diverses activités économiques.

Avec le soutien de la direction générale des affaires maritimes de la Commission européenne (DG Mare), la deuxième phase du programme SwitchMed étendra les principes de l’économie circulaire aux entreprises dans le cadre d’une composante « économie bleue ». Cette composante démontrera et promouvra les principes de consommation et de production durables dans les secteurs écologiques clés, conformément à la stratégie de « croissance bleue » de l’Union européenne, et soutiendra l’adoption des meilleures pratiques commerciales de l’économie bleue dans la région méditerranéenne.

 

Afin de garantir que les activités économiques des régions maritimes n'aient pas d'impact négatif sur les écosystèmes et les moyens de subsistance, le concept d'économie bleue cherche à gérer une transformation durable des secteurs économiques associés pour maintenir et augmenter leur valeur au fil du temps, tout en soutenant la création d'emplois.

Depuis 2014, le programme SwitchMed, financé par l’UE, a démontré dans huit pays de la Méditerranée le potentiel des pratiques de l’économie circulaire en tant qu’approche performante pour soutenir l’efficacité des ressources, les modèles d’entreprise innovants et la réduction de l’empreinte écologique de diverses activités économiques.

Avec le soutien de la direction générale des affaires maritimes de la Commission européenne (DG Mare), la deuxième phase du programme SwitchMed étendra les principes de l’économie circulaire aux entreprises dans le cadre d’une composante « économie bleue ». Cette composante démontrera et promouvra les principes de consommation et de production durables dans les secteurs écologiques clés, conformément à la stratégie de « croissance bleue » de l’Union européenne, et soutiendra l’adoption des meilleures pratiques commerciales de l’économie bleue dans la région méditerranéenne.

 

Dans le cadre de la composante Économie Bleue de SwitchMed, l'Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) introduira des pratiques de production circulaires et efficaces en termes de ressources pour les industries des secteurs des fruits de mer/du traitement du poisson et de l'aquaculture.

Le rapport de l’Union pour la Méditerranée (UpM) sur l’Économie Bleue indique que; « l’industrie de la pêche et de l’aquaculture en mer Méditerranée est le troisième secteur de l’économie bleue en termes socio-économiques, après le tourisme et le transport maritime ».

La demande mondiale croissante de produits de la mer et de poissons a augmenté la pression sur l’écosystème marin. Les secteurs de la transformation des fruits de mer/du poisson et de l’aquaculture contribuent de manière significative à la pollution marine et ont besoin de pratiques plus efficaces qui puissent soutenir une industrie économiquement viable et écologiquement stable.

L’ONUDI mènera des activités pilotes en Tunisie et au Maroc pour démontrer comment améliorer la circularité de la chaîne de valeur de la transformation des fruits de mer/du poisson et développer le secteur de l’aquaculture afin d’adopter des pratiques qui peuvent garantir un approvisionnement durable en fruits de mer et en poisson de la Méditerranée. Les projets pilotes des deux secteurs illustreront la manière dont l’économie circulaire peut contribuer à une économie bleue résiliente et, à terme, au partage des expériences avec d’autres pays de la Méditerranée.

Le rapport de l’Union pour la Méditerranée (UpM) sur l’Économie Bleue indique que; « l’industrie de la pêche et de l’aquaculture en mer Méditerranée est le troisième secteur de l’économie bleue en termes socio-économiques, après le tourisme et le transport maritime ».

La demande mondiale croissante de produits de la mer et de poissons a augmenté la pression sur l’écosystème marin. Les secteurs de la transformation des fruits de mer/du poisson et de l’aquaculture contribuent de manière significative à la pollution marine et ont besoin de pratiques plus efficaces qui puissent soutenir une industrie économiquement viable et écologiquement stable.

L’ONUDI mènera des activités pilotes en Tunisie et au Maroc pour démontrer comment améliorer la circularité de la chaîne de valeur de la transformation des fruits de mer/du poisson et développer le secteur de l’aquaculture afin d’adopter des pratiques qui peuvent garantir un approvisionnement durable en fruits de mer et en poisson de la Méditerranée. Les projets pilotes des deux secteurs illustreront la manière dont l’économie circulaire peut contribuer à une économie bleue résiliente et, à terme, au partage des expériences avec d’autres pays de la Méditerranée.

  • Étude de cas : efficacité des ressources dans l'industrie marocaine de transformation du poisson - Usine de congélation

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